mercredi 25 janvier 2017

Lecture du soir Spurgeon 25-01-2017

25 Janvier-Soir. 

Anéantissons-nous donc la loi par la foi ? Loin de lâ !  Au contraire, nous confirmons la loi. {#Ro 3:31

Quand le croyant est adopté dans la famille du Seigneur, son rattachement au vieil Adam et â la loi cesse immédiatement; mais il est soumis â une nouvelle règle et â un nouveau contrat. Croyants, vous êtes des enfants de Dieu et votre premier devoir est d’obéir â votre Père céleste. Vous n’avez plus rien â faire d’un esprit servile:vous n’êtes plus esclaves mais des enfants; et â présent, étant donné que vous êtes des enfants aimés, vous devez obéir au moindre souhait de votre Père, â la moindre suggestion de sa volonté. Vous demande-t-il de remplir un ordre sacré? C’est â vos risques et périls que vous le négligeriez, car vous désobéiriez â votre Père. Vous commande-t-il de chercher â ressembler â Jésus? N’est-ce pas une joie pour vous de le faire? Jésus n’a-t-il pas dit "Soyez parfait comme votre Père qui est aux cieux est parfait"? Alors non pas parce que la loi le demande mais parce que votre Sauveur vous y invite, vous travaillerez â cette perfection en sainteté. Demande-t-il â ses saints de s’aimer les uns les autres? Faites-le, non pas parce que la loi dit:"Aimez votre prochain" mais parce que Jésus dit "Si vous m’aimez, gardez les commandements que je vous ai donnés" et ceci est le commandement qu’il vous a donné: "aimez-vous les uns les autres". Vous est-il demandé de donner aux démunis?  Faites-le non pas parce que la charité est un fardeau que vous n’osez pas négliger mais parce que Jésus enseigne de "donner â celui qui demande". La Parole dit-elle "d’aimer votre Dieu de tout votre coeur"? Prenez ce commandement et répondez-lui: "Ce commandement, le Christ l’a déjâ accompli et je n’ai pas besoin de l’accomplir pour mon salut, mais je me réjouis d’offrir mon obéissance parce que Dieu est mon Père â présent et il a un droit sur moi que je ne peux discuter". Que le Saint Esprit fasse de votre coeur un coeur obéissant au pouvoir contraignant de l’amour de Christ, que vos prières soient: "Seigneur, que je marche dans tes commandements car en eux je trouve mon plaisir". La grâce est la mère et la nourrice de la sainteté et non pas la justificatrice du péché.