samedi 29 avril 2017

Lecture du soir Spurgeon 29-04-2017

29 Avril-Soir 

Car l’Eternel prend plaisir â son peuple. {#Ps 149:4

Oh! Quel amour complet que celui de Jésus! Il n’y a rien, dans les intérêts de son peuple, qu’il ne prenne en considération, et il n’y a rien dans ses inquiétudes et son bien-être qui ne soit important pour Lui. Il ne pense pas simplement â vous, croyant, en tant qu’être immortel, mais en tant qu’être immortel, également. Ne le niez pas ou n’en doutez pas: "Les cheveux de votre tête sont tous comptés." "Les pas d’un homme droit sont guidés par le Seigneur; et il se ravi de par son chemin". Ce serait bien triste pour nous si cet amour protecteur ne pouvait pas couvrir toutes nos inquiétudes, car quelle malice de notre part, dans toutes nos affaires, ne saurait échapper â la grâce de notre Seigneur! Croyant, reste assuré que le coeur de Jésus prend soin de tes plus petites affaires. La largeur de son tendre amour est telle que vous pouvez avoir recours â lui en toutes choses; car dans toutes vos détresses il est affligé, et comme un père a pitié de ses enfants, ainsi il a pitié de vous. Les moindres intérêts de tous ses saints sont tous portés par la large poitrine du Fils de Dieu. Oh, quel coeur que le sien, qui ne comprend pas simplement son peuple, mais qui comprend aussi les inquiétudes diverses et innombrables de toutes ces personnes! Penses-tu, O chrétien, être capable de mesurer l’amour du Christ? Pense â cet amour qui a apporté ta justification, ton adoption, ta sanctification, ta vie éternelle! Les richesses de sa bonté sont hors d’atteinte; tu ne seras jamais capable de les décrire ou même de les concevoir. Oh, quelle largeur que celle de l’amour du Christ! Un tel amour pourrait-il prendre ne serait-ce que la moitié nos coeurs? N’aura-t-il, en retour, qu’un amour froid?  Est-ce que le merveilleux amour de Jésus ne mérite qu’une pâle réponse et une reconnaissance tardive de notre part? O mon âme, accorde ta harpe â l’heureux hymne d’action de grâce! Va vers l’allégresse du repos, car tu n’es pas comme un vagabond affligé, mais comme un enfant bien-aimé, gardé, surveillé, comblé, et protégé par ton Seigneur.