mercredi 31 mai 2017

Lecture du soir Spurgeon 31-05-2017

31 Mai-Soir. 

Qui guérit toutes tes maladies; {#Ps 103:3

La formulation en est peut-être humiliante, cependant le fait est sûr: nous sommes tous plus ou moins souffrants de la maladie du péché. Quel réconfort de savoir que nous avons un grand Médecin qui est â la fois capable et disposé â nous guérir! Laissons-nous aller â penser â lui  pendant un moment ce soir. Ses cures sont très rapides: il y a la vie dans un simple regard de lui; ses cures sont radicales: il frappe au centre de la maladie; et puis, ses guérisons sont sûres et certaines. Il ne se trompe jamais, et la maladie ne récidive pas. Il n’y a pas de rechute lorsque Christ guérit; il n’y a pas â craindre que ses malades soient simplement rafistolés pour un temps, il fait d’eux des hommes nouveaux; il leur donne aussi un coeur nouveau, et il met en eux un esprit juste. Il est aussi habile pour toutes les maladies. Les médecins ont en général une spécialité. Bien qu’ils aient des connaissances sur presque toutes nos douleurs et maux, il y a usuellement une maladie qu’ils ont étudiée plus que toutes les autres; mais Jésus-Christ est clairement informé de la totalité de la nature humaine. Il est aussi â l’aise avec un pécheur qu’avec un autre, et jamais il ne  rencontre un cas déroutant qui lui serait difficile. Il a eu des cas extraordinaires de maladies étranges â traiter, mais il a su exactement, d’un simple coup d’oeil, comment traiter le malade. Il est le seul docteur universel; et la médecine qu’il pratique est â la fois personnelle et universelle, guérissant chaque cas. Quelle que puisse être notre maladie spirituelle, nous devons nous attacher immédiatement â ce Divin Médecin. Il n’y a aucun brisement de coeur que Jésus ne puisse réparer. Son sang nous a purifié de tout péché. nous n’avons qu’â penser aux myriades qui ont été délivrées de toutes sortes de maladies par le pouvoir et la vertu de ses mains, et nous nous en remettrons joyeusement â lui. Nous avons confiance en lui, et le péché meurt; nous l’aimons, et la grâce vit; nous l’attendons et la grâce est fortifiée; nous le voyons comme il est, et la grâce est parachevée â jamais.